|
|
|
|
|
|
|
Avenue Charlotte Corday dans le quartier Ste-Thérèse-Demi-Lune.
|
|
Bas-relief sur l'hôtel Malherbe, place Foch, 1950. Hôtel fermé en 2014,
transformé en appartements depuis 2016. Photo 2013 Wikimedia Commons.
|
|
Dessins préparatoires du bas-relief. Commentaires : Hydre représente assez la tyrannie que la pauvre voulait abattre.
L'histoire raconte qu'elle cachait un couteau sous son fichu.
En arrière-plan piques drapeaux bonnets guillotine. Source AD14, 42FI/405.
|
|
En 2020, ouverture d'un
dossier Charlotte Corday aux Archives Départementales du Calvados, rue de Lion-sur-Mer à Caen.
|
|
|
|
|
|
|
|
« Charlotte Corday en prison », tableau réalisé en 1842 par Augusta Lebaron-Desves.
Propriété de l'Etat en dépôt au Musée des Beaux-Arts de Caen, et exposé dans une salle à manger de l'Hôtel de Ville
(Abbaye-aux-Hommes).
|
|
« Charlotte Corday en condamnée à mort avec chemise rouge ». Esquisse réalisée sur le trajet vers l'échafaud par Brard.
Pastel 18e siècle. Musée des Beaux-Arts de Caen. Voir page [Ses portraits].
|
|
Panneau du circuit touristique, au coin de la rue Haute et de la venelle Bénard. Voir la page [Caen Saint-Gilles].
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Abbaye-aux-Dames, vue côté ancien couvent de l'abbatiale Ste-Trinité. Les guides touristiques rappellent toujours
la présence dans cet endroit de la jeune Charlotte de 1782 à 1790.
|
|
Statue de Charlotte Corday dans la cour de l'ancien couvent de l'abbaye.
|
|
Gros plan sur la statue.
Oeuvre de Claude Quiesse, artiste normand.
Bronze et acier, H=3.5m, 2008.
|
|
Dépliant 2022 pour la visite de l'abbaye.
(Fichier pdf 1.42Mo)
|
|
|
|
|
|
|
|
La boutique du chocolatier Charlotte Corday, 114 rue St-Jean. Confiserie Mollier depuis 1890,
elle est détruite en 1944 et reconstruite en 1955 plus en retrait de l'église St-Jean.
|
|
Sur la devanture de la boutique, portrait de Charlotte signé "D. de Boismenu d'après Lamuse".
|
|
L'image utilisée sur les divers emballages des chocolats CC.
|
|
L'église St-Jean avec sa tour penchée, telle que Charlotte pouvait la voir tous les jours mais encastrée
entre les immeubles.
|